Ayez les bons réflexes en cas d’harcèlement moral au travail

L’harcèlement moral au travail et si on en parlait un peu ? C’est un acte de préjudice puni par la loi et donc pour que les plaintes soient bien fondées, il faut des preuves. Mais que faut-il faire quand on est victime d’un harcèlement moral au travail ?

 

Faire face aux propos décourageants et blessants au travail

Quand un salarié est victime d’un harcèlement moral au travail, forcément cela engendre beaucoup de répercussions sur sa productivité. Que ce soit les fonctionnaires ou employés en privé, les victimes de cette offense sont nombreuses.

Cependant, rares sont les personnes qui osent affronter ce problème. Il est vrai que la situation est délicate puisque les preuves sont parfois difficiles à fonder.

Le harcelement moral au travail est surtout rencontré dans les institutions privées. Les victimes peuvent avoir dans ce cas, des recours à la loi pour se défendre. La législation exige de l’employeur à des obligations qui préviennent les comportements abusifs dans sa société. Si vous êtes victime d’un tel comportement, sachez que la loi vous protège. Vous ne devriez pas hésiter à porter plainte.

Dans le secteur public, il existe des voies qui aident à se défendre du harcèlement moral au travail. Certains fonctionnaires sont également victimes de ce comportement abusif. Pour protéger les employés, l’administration doit mettre en place une politique accusant de tels actes. Grâce à cela, les fonctionnaires qui se sentent victimes d’un harcèlement peuvent être protégés par la loi qu’importe son statut (contractuel, stagiaire ou encore titulaire).

On qualifie du harcèlement moral au travail les actes suivants, le dénigrement et brimade, les critiques injustifiées, les humiliations publiques, les mesures vexatoires, la privatisation des outils de travail, les tâches dépassant les capacités, les avertissements infondés, et toutes sortes d’intimidations, etc.

Faites valoir vos droits et n’hésitez pas à utiliser les différentes procédures légales à ce propos pour vous défendre. Avertissez le CSE et l’association du personnel, informez l’inspecteur de travail, engagez un processus de compromis, saisissez les conseils des prud’hommes, faites appel au tribunal pénal et un avocat.